L'engouement pour les extensions de cheveux en plumes entraîne une pénurie à l'échelle nationale, un génocide de coq et l'interdiction des femmes dans les magasins de pêche à la mouche

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Pendant ce temps, le pays tout entier est devenu fou d'extensions de cheveux en plumes, à tel point que les femmes descendent comme des sauterelles dans les magasins de pêche à la mouche du pays à la recherche de hackles, ces objets à plumes qui peuvent servir d'accessoires pour cheveux. Ce rapport du Seattle Times commence de manière si inquiétante que vous pouvez presque entendre la punchline duh-duh-dun en arrière-plan.

Effectivement, moins de 24 heures plus tard, une femme est entrée dans le magasin Eldredge Bros. Fly Shop dans le Maine et s'est dirigée vers un étalage de hackles, les longues et fines plumes de coq que les pêcheurs utilisent pour fabriquer des leurres.

"Elle en a apporté un paquet au comptoir et m'a demandé si je pouvais les acheter en rose", a-t-il déclaré. "C'est à ce moment-là que j'ai su."

"Il faut des années et des années pour développer ces poulets et faire pousser ces plumes. Et maintenant, au lieu de finir sur une mouche, cela se retrouve dans les cheveux des femmes", a déclaré Matt Brower, guide et directeur adjoint d'Idaho Angler à Boise.

La situation est devenue si grave que les magasins de pêche à la mouche de certains États refusent de vendre des hackles aux femmes. S'agit-il d'un recours collectif pour discrimination en préparation ?

"Si vous entrez et que vous êtes une femme, ils ne vous vendront pas", a déclaré Ambroz, qui a commencé à s'intéresser aux équipements de pêche à la mouche de son mari après que les magasins soient épuisés.

"Il m'a dit de rester en dehors de ses plumes", a-t-elle déclaré.